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ZephLe 24/03/2017 à 21:39
Pen^2 (./6662) :
Possible qu'il n'y ait pas tant de métiers qui gèrent des historiques longs avec des modifications incrémentales.
Effectivement c'est possible que ce soit le côté "sans fin" des projets qui soit la cause ; je n'ai pas de contre-exemple pour le moment (de projet non-informatique qui implique de travailler sur une même réalisation pendant une très longue durée) mais je vais chercher ^^

Pen^2 (./6662) :
Et il faut différencier le caprice du gars qui veut tout ré-écrire parce qu'il est habitué à autre chose d'un projet difficilement maintenable.
J'ai vu les deux et je trouve que ce n'est pas compliqué de faire la différence entre un projet à peu près sain et une pourriture. Par exemple, sans en avoir vu les détails, j'aurais tendance à dire que ce qu'a montré Brunni du projet sur lequel il était affecté est clairement à mettre à la poubelle direct.®
Je crois que je suis tombé sur la discussion que tu cites, et il me semble qu'on a une vue très partielle du projet (c'est pas peu dire, on a juste vu quelques lignes de code). Bien sûr que j'ai un avis personnel dessus, mais dans un contexte professionnel je pense que j'aurais surtout un avis négatif de la personne qui, avec aussi peu de recul, m'expliquerait que "c'est pourri" et qu'il "faut tout refaire" avec des arguments aussi fournis que ces deux assertions. Et pourtant je trouve que ça arrive avec une fréquence étonnante, surtout chez les jeunes développeurs.

Folco (./6664) :
Peut-être que le côté plus concret et matériel de notre métier le nécessite. Peut-être que le côté immatériel de l'informatique permet plus facilement de décréter que "tout est à refaire".
Oui, ça en effet je pense que ça joue beaucoup : refaire quelque chose en pensant l'améliorer ne coute rien d'autre que le temps de la personne qui prend la décision. Pour le coup je vais avoir du mal à trouver des similitudes, donc ça tendrait à prouver que c'est un phénomène spécifique à l'informatique ^^