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EthanielLe 12/04/2010 à 10:17
Folco (./276) :
[…] que ce soit le suaire authentique ou autre, l'Eglise ne s'est jamais prononcé sur la question
Si.
Hippopotame (./17) :
La suite de l'histoire, c'est un petit imbroglio juridique où le pape et l'Eglise confirment la fausseté du suaire, mais autorisent quand même les ostensions, puisque ça fait rentrer des sous.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-SuaireDans l'Histoire, l'Église n'a pas toujours reconnu l'authenticité de ces reliques ; cela fut fonction des époques et des personnalités concernées. Par exemple, dans le cas du suaire de Turin, les deux évêques successifs de Troyes, auxquels la relique fut présentée en premier lieu, déclarèrent qu'il s'agissait d'un faux et interdirent son exposition. Ce fut l'antipape Clément VII qui en institua le culte.


GUNNM (./270) :
C'est vous qui parlez sans cesse de merveilleux et de divin.Perso, je n'ai fait que de parler de mystère très intéressant.
OK, tu ne parles pas de « divin ».
Mais tu parles de « mystère » et tu veux qu’il soit et reste inexplicable : c’est très justement la définiton du « merveilleux » (ainsi, dans le merveilleux littéraire (contes de fée, etc.), les dragons et la magie existent sans qu’on cherche à les expliquer, on les prend comme tels, même s’ils contredisent le sens commun).
Merveilleux = mystère + refus d’explication.
Donc, oui, je parle de « merveilleux » car c’est le mot le plus adapté à ta conception du Suaire de Turin.