En France, c'est quelque chose qui, sans être fréquent, arrive régulièrement, sous des formes diverses : à partir du collège avec des interrogations (qui vont souvent en parallèle de comportements violents des autres aods vis-à-vis de celui qui est dans ces interrogations), puis au lycée avec des changements plus radicaux (il y a déjà des grands ados qui commencent à prendre des hormones ou s'engagent dans un changement de sexe dès le lycée, de façon parfois non accompagnée). Et à l'université, c'est très régulier (avec tout ce que ça provoque comme complexité administrative, mais c'est une affaire d'années avant que des dispositifs ne soient mis en place de façon uniforme - chez nous, en tout cas, on a mis en place une procédure interne pour essayer de minimiser l'impact administratif et pour que ça se passe humainement au mieux avec tout le monde).