J'ai l'impression que vous entretenez deux débats parallèles :
- La police doit-elle avoir à sa disposition des moyens supplémentaires pour ne pas subir une trop forte pénalité par rapport à ce que peuvent faire les criminels ?
- Est-ce problématique si ces moyens supplémentaires impliquent de pouvoir passer à travers les mécanismes assurant la vie privée des citoyens ?
Autant le premier point porte à discussion, autant j'ai du mal à croire qu'on puisse être de bonne foi en répondant un "non" pérementoire au deuxième, même avec une confiance aveugle dans les instances qui nous dirigent

(que nous sommes par ailleurs visiblement plusieurs à ne pas partager)