zrll Le 19/03/2002 à 19:17 L’assertion A => B est vraie quand A est fausse (le “faux implique n’importe quoi”) ou
quand A, B sont vraies.
Pourquoi le faux implique t-il n'importe quoi ?
ya ke tobnji pou poserdes quston comme ca...
le fau implike nimporte koi car c nimporte koi cette kestion en voila une reponse
pour une raison simple : à partir de quelque chose de faux, tu peux montrer n'importe quoi (que ce soit vrai ou faux)
Boss et webmaster de Ti-Fr (ah nan c'est fini ça :p)
zrll Le 20/03/2002 à 12:45 Oui mais ça c'est exactement la phrase elle même...
Y'a pas une définition axiomatique plus essentielle ? Ou un exemple ?
zrll Le 20/03/2002 à 12:45 Non en fait j'ai trouvé un exemple...
Tout raisonnement par l'absurde.
"Si 2+2=5, je suis le pape"
Démonstration:
===========
Supposons que 2+2=5
En faisant passer 2 de l'autre côté, on a 2=5-2=3
En soustrayant 1, on obtient 1=2.
Par symétrie, 2=1
Maintenant, l'ensemble E={pape, moi} a pour cardinal 2.
Comme 2=1, on a Card(E)=1
Donc moi=pape.
CQFD
zrll Le 22/03/2002 à 12:57 Magnifique telchar !!
C'est excellent.
niuob Le 23/03/2002 à 19:11 Mais ce sont des implications ...
zrll Le 24/03/2002 à 19:33 Je sais que c'est mal, mais #gavé#