Réalisé par Steven Spielberg
Avec Harrison Ford, Cate Blanchett, Karen Allen
Film américain.
Genre : Aventure
Durée : 2h 3min.
Année de production : 2007

(suis-je le seul à trouver qu'Harrison Ford est tout sauf auto-ressemblant sur l'affiche ?)
La nouvelle aventure d'Indiana Jones débute dans un désert du sud-ouest des Etats-Unis. Nous sommes en 1957, en pleine Guerre Froide. Indy et son copain Mac viennent tout juste d'échapper à une bande d'agents soviétiques à la recherche d'une mystérieuse relique surgie du fond des temps. De retour au Marshall College, le Professeur Jones apprend une très mauvaise nouvelle : ses récentes activités l'ont rendu suspect aux yeux du gouvernement américain. Le doyen Stanforth, qui est aussi un proche ami, se voit contraint de le licencier. A la sortie de la ville, Indiana fait la connaissance d'un jeune motard rebelle, Mutt, qui lui fait une proposition inattendue. En échange de son aide, il le mettra sur la piste du Crâne de Cristal d'Akator, relique mystérieuse qui suscite depuis des siècles autant de fascination que de craintes....
Ça fait une éternité que je n'ai pas vu les autres films de la série (outre le second, mais ça ne compte pas) alors j'éviterai de parler de fidélité ou non à l'esprit de la saga... De mémoire ça colle pas mal : de l'action, de l'exotisme, du cuir, de l'humour... Bref que du bonheur. Pas forcément le film de l'année, mais il est extrêmement dense (pas un quart de seconde de temps mort, c'est de l'action non stop), agréable à regarder (j'ai trouvé certaines scènes vraiment superbe, les images sont vraiment bien rendues) et comme j'aime à le dire, je cherchais un divertissement et j'en ai trouvé un de qualité. J'ai bien rigolé (de bon cœur) et j'en ai pris plein les mirettes : objectif atteint.
En tout cas les scénaristes ont décidé de se faire plaisir : le scénario couvre une très grosse partie de ce qui est possible de toucher par un film d'action se déroulant dans les années cinquante, c'est assez impressionnant, je me demande franchement ce qui leur a pris d'aller aussi loin

