Bonjour a tous, apparemment on offre de l'aide sur ce site, ce n'ai point de refus surtout pour ma situation
Je dois rendre un commentaire littéraire pour demain sur ce petit texte de même, j'ai déjà trouvé les outils en y fournissant des commentaires, j'ai de plus j'ai fait l'introduction que voici:
- Le genre poétique connait au XVIème siècle de nombreuses déformations sur l’amour. Après le fondement en 1549 d’un groupe de gens de lettres : la pléiade, les sept poètes français le comportant, souhaitent rénover les arts de l’écriture. Ainsi qu’un retour des genres poétiques utilisés pendant l’antiquité, dans le respect des premiers modèles. La parution du Premier livre des Odes en 1550 de Ronsard, perturbe ce genre de transformation. Mais c’est avec Du Bellay par son confinement à Rome que l’univers poétique évolue: il propose une écriture authentique et immédiate, capable de transfigurer la souffrance de son exil. Il publie un recueil de 191 sonnets en 1557 sous un nom mélancolique: Les Regrets. On y découvre un poème, qui joue sur la versification, dans un registre tragique et lyrique, le thème de la douleur. Cette douleur intensifiée sera le centre de cette poésie. Ce sonnet empli de souffrance limpide nous invite à la réflexion :
par quels procédés parvient-il transfigurer les larmes dans un univers nostalgique? Pour répondre à cette question, nous tenterons d'abord de repérer (outil prédominent)
mise au service du pleur. Nous chercherons ensuite à analyser le cheminement
de la douleur aboutissant des pleurs à
une morale face son inutilité(?) Enfin, nous pourrons évoquer
la plainte du poète dans cette passion et souffrance continue.
Elle cite comme vous l'avez vu une problématique (peut être mauvaise) mais pas de plan concret . Voila mon petit soucie, je n'arrive point à débuter sur le plan, ^_x

HELP?
Si les larmes servaient de remède au malheur,
Et le pleurer pouvait la tristesse arrêter,
On devrait, Seigneur mien, les larmes acheter,
Et ne se trouverait rien si cher que le pleur.
Mais les pleurs en effet sont de nulle valeur :
Car soit qu’on ne se veuille en pleurant tourmenter,
Ou soit que nuit et jour on veuille lamenter,
On ne peut divertir le cours de la douleur.
Le cœur fait au cerveau cette humeur exhaler,
Et le cerveau la fait par les yeux dévaler,
Mais le mal par les yeux ne s’alambique pas.
De quoi donques nous sert ce fâcheux larmoyer ?
De jeter, comme on dit, l’huile sur le foyer,
Et perdre sans profit le repos et repas.
Voici un plan minable et très inachevé que j'ai conçut, si on pouvait m'aider l'arranger et même le corriger, je vous en serais fort redevable
1)Possession d'un univers lyrique
-Les larmes en tant que achat.
-L'hypothèse et utilité du pleur.
2)Le chemin de la douleur
-
-
3) Passion et souffrance continue
- la plainte du poète
-
Mais comment voulez vous couper en trois ce poème??? Enfin je veux dire on peut voir qu'au début il fait une hypothèse si le pleure pouvait s'acheter il aurait l'utilité d'un remède contre le malheur, après deuxième strophe son inutilité, troisième strophe le cheminement de la douleur, plainte du poete, raaaaaaaaaaaa je suis faible
merci si vous arriverez à m'aider