Réalisé par Jean Becker ; avec Albert Dupontel, Marie-Josée Croze, Pierre Vaneck
Drame français.

Antoine Méliot, la quarantaine, a tout pour être heureux : une belle épouse, deux enfants adorables, des amis sur lesquels il peut compter à tout instant, une jolie demeure dans les Yvelines et de l'argent. Mais un jour, il décide de tout saboter en un week-end : son bonheur, sa famille, ses amis.
J'ai adoré.
J'ai d'abord voulu le voir après avoir regardé la bande annonce, qui est assez "jouissive". Je suis allé le voir ensuite pour la fête du cinéma, et je n'ai vraiment pas été déçu. Le film passe très vite (trop ?) tellement l'histoire est prenante.
(Attention, il y a un chouilla de spoiler ci-dessous, mais 3 fois rien)
En plus je me suis fait avoir comme un bleu parce que, au final, elle est assez prévisible.
Le film est construit sous forme d'une montée en puissance assez incroyable, qui nous fait passer du rire au malaise ... vraiment bien conçu. Et Dupontel joue merveilleusement le mec qui pète un câble, entre crise de la quarantaine et crise existentielle.