Saru Lock - Page 1

Saru, un génie du crochetage de serrure, et son (gros) pote Yamamoto, encyclopédie vivante du porno. Le sexe (cathodique) est leur unique centre d'intérêt et ce tome fait défier les opérations de cambriole et les missions de sauvetage d'adolescentes en mauvaises postures à la façon de GTO. Des dialogues vulgaires aux accouplements sauvages, de détails graveleux en scènes perverses, SARU LOCK aligne un contenu sexuel à l'oppulence inédite en VF. Hormis cette libido dévastatrice, ce titre est conçu selon les règles de l'art du shônen ouvertement mainstream, donc particulièrement bien gaulé côté rythme et graphisme. C'est avec ce parfait costume de produit pour ados que SARU LOCK devient un cas équivoque et efface toute limite entre manga pour ados et seinen pour adulte. Un titre trouble, aussi séduisant que détestable, dont la réputation devrait bientôt concurrencer STEP UP LOVE STORY.
Bon, perso j'adore.
Je ne le conseille vraiment pas aux filles. Ce manga vire parfois à des scènes presque hentaï, mais n'en ai pas un vu que le sexe des hommes et des femmes ont un effet flous. Mais on imagine très bien l'image. Donc gros plans sur des sexes, ce manga est édité par Senpaï, interdit au moins de 15 ans.
Sarumaru dit "Saru" et Yamamoto sont deux lycéens, le premier tient avec son père une serrurerie, et le deuxième un magasin de location de vidéo porno. Deux gros obsédés qui ne pensent qu'aux filles et toujours puceaux (ça rappelle Onizuka, mais non). Mais Saru n'est pas un serrurier ordinaire, c'est un as, un pro de la serrure, aucune serrure ne lui résiste. Un cadena, une porte, des menottes, un coffre fort et j'en passe. Il ouvre tout, et ça va lui causer pas mal de soucis, yakuzas, gangs, boite porno...
On se rend compte aussi que ses deux mecs ne pensent pas qu'à mater des filles mais aussi à les aider, presque au prix de leurs vies lors de situations d'extrème urgence, genre s'ils ne font pas ce qu'à dit de faire le mec d'un gang, c'est "tournante" assurée pour la fille en question. On retrouve toujours des serrures à crocheter mais l'humour des scènes fait de chaque "mission" (chapitre) une mission unique.
Sinon j'ai lu quand même les 3 premier volumes (seul sortis pour l'instant).
Bref, du cul, de l'action et des serrures (et du cul) c'est Saru Lock

ça fait un peu penser à Get Backers ta description
sinon les sexes censurés c'est made in Japan (représentation des organes sexuels interdite )
je verrai si je peux y jeter un coup d'oeil un de ces jours

Je n'ai jamais vu Get Backers et je pense que je ne le verrais jamais.
Pour exemple voici une image INTERDIT AU MOINS DE 16 ANS qui se trouve dès les premiers pages du premier tome : http://www.hiboox.com/image.php?img=10a17620.jpg

Euh ça se lit Get Backers hein, ça se trouve en fnac chez Pika.

Euh ça se regarde aussi Get Backers hein, ça se trouve sur internet chez Kaze.

VOTEZ POUR LA PETITION
"LES ANIMES VENANT DE MANGAS
C'EST TOUT POURRI !"
(et inversement d'ailleurs)

Maeda :
dont la réputation devrait bientôt concurrencer STEP UP LOVE STORY

Comparer ce qui est comparable. Et je vois mal Saru Lock comme un manga humoristique/sentimental jouant les documentaires sur le sexe (aucune scène n'est "gratuite", sous-entend faite pour attirer l'ado prépubère aux hormones en folie)

Ce paragraphe n'est pas de moi.

Meow> A part si Saru Lock se révèle chiant à la lecture, ce qui est le cas de Futanari Ecchi, que je trouve raccoleur sous son étiquette "didactique"...