1

tain g vraiment besoin d'aide car la je seche !!!!

3 sujet au choix

Husserl a dit:
"toute conscience est conscience de kk chose" vs exposerai la reflexion que cela vs inspire suivant un plan dialectique ou dialogique

Vous commenterez de magniere analogique, en songeant au perso de figaro, ces formule de victor hugo"chaque grd artistes refrappe l'art a son image, hamlet c'est oreste a l'effigie de shakespeare, figaro c scarpin a l'effigie de beaumarchais"

et enfin le 3eme
Claridge a ecrit:
"nous sommes des nains juchés sur des epaules de geants" vs exposerez la reflexion que cela vs inspire suivant un plan successivement inductif puis deductif


dc si yen a un ki vs inspire un plan ca serai sympa
ALASKA premiere album "watertight"

premiere sortie du label furne-records
dispo ici

2

prend le 3eme, tu developpe sur la place de l'homme sur la société

3

Ouai, sans oublier d'y mentionner la religion, ils aiment bien ça les profs de philo wink

4

ouais, tu dis que en fait l'homme (l'individu...) est rien en tant que tel, car c l'union qui fait la force....

Oula....heureusement que g u mon bac l'année dernière moi (et avec 10 en philo!!!) parce que la je te plains pas mal....

6

Tu prends ta TI et tu sèches grin


Prise de tête: PhD dans la mire.

------------------------------------------------------------------------------------
Mon site TI 83+ et 83+SE (mort)
Le forum TI 83+ de yAronet !!! (rattaché au site..)

7

Les profs de philos aiment surtout, contrairement
a ce qu'ils laissent entrevoir, que les eleves
fabriquent leur propre opinion.

Tu prends donc le sujet que tu comprends le moins.
Tu dis que tu ne le comprends pas, et tu
fais ta dissertation sur ce qui te vient a l'esprit,
avec tes propres idees qui sont a contre courant du cours..

Par exemple, tu prends le troisieme sujet, tu dis que
c'est n'importe quoi, que le mec
a trop fume ou trop joue a ADD, puis tu fabrique ton
propre raisonnement :

Les nains sont les gens banals, le peuple, les cons,
ceux qui ne pensent pas, ceux qui sont lobotomises,
etc, et ils vivent sur les epaules des geants, c'est
a dire qu'il y a dans le monde deuxx ou trois "geants"
(pour la philo, tu cites Freud, Marx, Descartes, Platon), pas plus
car un geant ca prend de la place, et que ces geants
nous ont mache le travail a nous, les nains, en baptissant
des idees banales et batardes qu'on se contente d'accepter, etc etc


Sur ce, troisieme partie, tu prouve que toi aussi tu
peux etre un geant, et tu inventes un concept revolutionnaire (la,
je te laisse a ton imagination)


(exemple : Freud a dit qu'on est tous des refoules sexuels, et
que l'esprit est compose de trois parties (c'etait un fan
de robotech, il etait unifie avant l'heure) ; Marx a dit
que depuis le jour ou qqn a dit "ceci m' appartient",
la societe partait en couille, Descartes a dit des banalites,
et Platon a reve a voix haute. Pourtant, ils ont tous eu du succes, les
cons...)
Cinq font un et un font cinq : le tout est UNITE.
C'est dans l'incompréhension que je suscite que je trouve ma raison d'être.
Je suis moi, et je le suis parce que les autres ne le sont pas, et que ce sont eux qui forment ma personne.
Inconscience et déraison sont source d'imagination.
Au delà de ma conscience et de mon inconscient, mes rêves créent la réalité.

8

sans comentaires...confus

10

smeet lool

Oula....heureusement que g u mon bac l'année dernière moi (et avec 10 en philo!!!) parce que la je te plains pas mal....
le pb c ke moi aussi g eu mon bac ms ceci fait partie du test d'evaluation d'efrei et g essayé de faire les math a part les propas ki etait d'une facilité deconcertante le reste ca dechire tros sa mere tellement c dur
ALASKA premiere album "watertight"

premiere sortie du label furne-records
dispo ici

11

lol smeet !
quelle imagination !wink
avatar
Mon âme rayonnait du feu de ton feu,
Ton monde était une eau chuchotante
A la riviére de mon coeur.

Rumi, poéte soufi

12

Ce n'est aps de l'imagination. J'ai (un petit peu) exagere la chose, mais l'idee est la.
En philo, faut pas hesiter a remettre des choses en cause.
Si le prof est blesse dans son amour propre, tant pis pour lui, mais la deontologie l'obligera a noter objectivement.
Malheureusement, cette demarche que j'ai mis un an a assimiler (allant de 7 a 15 de moyenne en philo), je l'ai laisse
tombe le jour du bac. Je me suis chope 5.

Je pense ce que j'ai dis plus haut. Et je donne vraiment ce conseil : en philo, contrairement a l'impression de base, rien n'est acquis.

Un exemple : si vous avew entre les mains un texte allemand a tendance nazi sur les bords, n'hesitez pas a le dire !!!
Pareil si vous avew un texte de Chateaumachin (comment y s'appelle deja ?) a tendance raciste, demontez le !
Les profs en ont marre des eleves sans personnalite, sans idees propres.
Bref, foncez.

"La verite t'appartient, n'hesite pas, fonce !"
Cinq font un et un font cinq : le tout est UNITE.
C'est dans l'incompréhension que je suscite que je trouve ma raison d'être.
Je suis moi, et je le suis parce que les autres ne le sont pas, et que ce sont eux qui forment ma personne.
Inconscience et déraison sont source d'imagination.
Au delà de ma conscience et de mon inconscient, mes rêves créent la réalité.

13

Les discussions sur l'athéisme portent souvent sur le sens de la vie. Les religions prétendent fournir des réponses à la question : La Vie a-t-elle un sens ?

La question peut prendre une autre forme : Ma vie a-t-elle un sens ? D'autre part, le mot sens veut dire direction, orientation et aussi, signification.

Je récuse les réponses religieuses à ces questions. Les religions expliquent l'obscur par le mystère. Leurs réponses ne peuvent convaincre que ceux qui croient déjà, ou qui sont prêts à se jouer à eux-mêmes la comédie, à décider de croire en vue de faire taire leur angoisse ou pour toute autre raison, et donc à vivre dans la mauvaise foi (au sens Sartrien du terme).

Ma vie a le sens
que je lui donne

L'humanité telle qu'elle existe résulte de mécanismes biologiques, psychologiques et sociaux, mécanismes non déterministes, qui laissent de la place au libre arbitre (au niveau individuel) et à l'action politique (au niveau global).

Comment se situe ma vie ? Ma vie (en cours) n'a pas en propre un sens, comme une pierre a une masse et un volume. Elle a le sens (la direction) que je lui donne.

Je suis sur terre de par une volonté qui n'est pas la mienne : la volonté de mes parents (ou leur négligence en matière de contraception, ou leur conformisme à une tradition culturelle ou familiale de lapinisme, etc.) Au départ, le sens de ma vie m'échappe. Mais je peux, par mes choix (profession, style de vie, conjoint) donner à ma vie un sens qui est alors le mien.

Tant que je suis vivant (du moins conscient et autonome), le sens de ma vie, c'est l'ensemble des choix que je fais en vue des années qui me restent à vivre. C'est une orientation, motivée par des objectifs (recherche de la célébrité et/ou de la richesse etc. disons recherche du bonheur, pour englober tout ce que chacun de nous met sous ce terme). Cette orientation est constamment modifiable, même si un principe de fidélité à soi-même n'incite pas à se remettre en question.

Une fois mort, le sens que ma vie aura eu, le parcours (minuscule) dans l'espace-temps humain que j'aurai effectué, sera la résultante de l'ensemble de mes actes (une résultante en mathématiques possède de multiples composantes, ce n'est pas un simple nombre positif ou négatif, qui serait déterminé par une balance comme dans les représentations picturales du Jugement Dernier).

Nos vies sont fondées sur, mais non déterminées par, des processus physiologiques, psychologiques et sociaux, que nous pouvons contribuer à modifier globalement (recherche médicale, action politique...) ou pour nous-mêmes (choix d'une vie "saine", ou dangereuse, choix d'un rôle social de créateur ou de leader, suicide...). Nous pouvons donc les orienter, leurs donner des sens.

Il n'y a pas besoin de "Dieu", de prêtre ni de gourou pour cela.

Objection : Tous les humains n'ont pas la possibilité de choisir ou d'orienter leurs vies. Certains n'ont le choix qu'entre des conditions de vie inhumaines et le suicide.

Réponse : Que des populations entières vivent dans des conditions indignes n'invalide pas mes observations, mais fournit un objectif politique urgent : transformer ces conditions. La possibilité d'orienter sa vie de façon significative est une composante essentielle de la dignité humaine. Vous avez mentionné vous-même le suicide qui reste toujours un choix possible. Je m'étonne personnellement qu'il n'y en ait pas plus.

L'individu
face à la société

Par individu, j'entends chacun de nous avec son histoire, sa personnalité, ses goûts ; il ne s'agit pas de l'individu abstrait de Rousseau, de Kant ou des textes juridiques.

Par société, j'entends tous les autres, formant des groupes divers (famille, collègues de travail, compatriotes, coreligionnaires, etc.) Pour citer Georges Palante (Les antinomies entre l'individu et la société, réédité avec une préface de Michel Onfray aux éditions de la Folle Avoine, 1994), c'est l'ensemble des cercles sociaux de toutes sortes auxquels peut participer un individu, ainsi que les relations complexes où il se trouve engagé par suite de cette participation [...] Ce milieu social exerce sur l'individu un nombre considérable d'influences qui s'entrelacent et s'enchevêtrent de toutes façons, qui tantôt s'additionnent et se renforcent et tantôt s'opposent et se neutralisent, mais qui dans tous les cas, agissent sur l'individu soit pour favoriser, soit pour entraver son développement (p.13).

L'individu et la société face à face sont comme deux joueurs d'échecs, ou plutôt comme le taureau dans l'arène face aux toreros et à leurs chevaux, encouragés par la foule. Ce jeu est inégal.

L'individu est face à la société pour un jeu qu'il n'a pas choisi de jouer, car il a été mis au monde de par la volonté de ses parents, influencés eux-mêmes par la société. Il est donc en un sens le produit de la société et obligé de jouer contre (avec ?) elle, un jeu dont les règles implicites et mouvantes se sont mises en place tout au long de l'histoire de l'humanité.

Une vie humaine, c'est une partie (qui s'étend sur des dizaines d'années), d'un jeu que j'appellerai le jeu de l'individu face à la société (en prenant jeu en un sens large incluant par exemple la corrida et la roulette russe). C'est un jeu à coalitions : chaque individu joue simultanément, d'une part sa partie face à la société, et d'autre part, les parties des autres, en tant que membre de la société, allié plus ou moins temporairement, plus ou moins consciemment à différents groupes (coalitions) constituant la société. L'individu peut jouer personnel pour défendre en priorité son intérêt propre, ses goûts, ses choix de vie, contre une coalition qui s'y oppose ; il peut au contraire jouer conformiste, avec les groupes sociaux dominants, tenter de faire céder les individualistes et renforcer la puissance de ces groupes.

L'objectif de la société est de se maintenir, mais les moyens ne sont pas fixés une fois pour toutes car les lois sont changeantes.

L'individu cherche, disons le bonheur, sous une forme qu'il a choisie ou qu'il a laissé la société choisir pour lui. Sa mort terminera sa partie. Il peut remporter des batailles locales, marquer des points contre tels autres individus, ou contre la société (qui cherche, typiquement, à le faire travailler le plus possible et penser droit). Dans de rares cas, il peut infléchir l'évolution de l'Histoire. Gagner pour l'individu, serait arriver à agir et à atteindre des objectifs qu'il aurait définis pour lui-même en toute indépendance et liberté. Qui a jamais gagné ?

La société peut utiliser la force (cas des régimes totalitaires), la loi (la censure sous ses diverses formes est une manifestation particulièrement claire de l'antinomie entre la société qui interdit et les individus, créateurs censurés d'une part et public interdit d'accès aux œuvres censurées d'autre part), mais sa meilleure stratégie est de faire croire aux individus qu'il y a identité entre leurs buts personnels et les siens.

Elle dispose d'un arsenal éprouvé pour ce faire : promotion des valeurs morales : honneur, religion, courage, patriotisme, goût du travail, esprit d'équipe, esprit grégaire, "racines" et traditions, etc. La promotion de la Famille est aussi une arme essentielle : d'une part la natalité est nécessaire au maintien de la société, et d'autre part, plus la famille est nombreuse et plus ses membres sont englués comme des mouches dans une toile d'araignée d'obligations multiples (travail, cuisine, éducation, réunions) et de sentiments imposés (réjouissance lors d'une naissance ou d'un mariage, tristesse lors d'un décès). Qui n'a rêvé un jour de changer d'identité, de renaître en terre inconnue, libre de toute famille et de tout passé ?

Les religions traditionnelles confortent la société, et en sont une arme essentielle dans sa lutte contre l'individualisme. Les sectes et nouvelles religions inquiètent car elles cultivent, soit la séparation d'avec la société, soit le développement individuel, mais dans les deux cas, elles ne jouent pas le jeu de la société.

Parmi les stratégies de la société, on peut distinguer...

- Le contrôle des corps : impératifs d'élégance, de propreté, de pudeur, de santé, et tous les interdits et obligations sexuels.

- Le contrôle des pensées : intériorisation forcée de principes éthiques et politiques formulés en termes de nature humaine, d'efficacité, de sécurité, de progrès (dans quel sens ?), de solidarité, de travail, de compétition ; refus de penser l'échec, la mort, le risque, la fin de l'humanité ; intoxication publicitaire (et idéologique), pseudo-information et abrutissement médiatique.

- Les obligations grégaires : devoirs de mémoire, racines, communautés, traditions familiales et régionales, modes imposées par les commerçants (en faisant croire à l'exercice d'une liberté personnelle).

L'individu doit choisir une stratégie, éventuellement la non-stratégie consistant à se laisser porter par le courant. La révolte frontale contre toutes les valeurs conduit tout droit en prison surtout en cas de passage à l'acte (la liberté d'expression et de communication ayant des limites, une révolte purement verbale ou écrite peut déjà causer bien des ennuis).

À moins de faire le choix du conformisme total à l'idéologie dominante B travail, famille, patrie (dont une forme affaiblie consiste à crier devant sa télévision quand l'équipe nationale de truc ou de machin marque un point, mais le prestige du "kamikase" n'a pas partout disparu), religiosité molle, qui se veut tolérante et humaniste, éloignée de toute conviction ferme, immédiatement qualifiée péjorativement d'intégrisme B l'individu doit donc ruser, en adopter des morceaux, s'associer à d'autres individus pour en refuser d'autres, refouler ses désirs, se dédoubler comme le Dr. Jekyll.

Si nous naissons libres en droit, nous ne naissons pas libres de fait : conditionnés de multiples façons, nous ne pouvons que tendre vers un peu plus de liberté. Les modèles de non-conformisme proposés parfois (l'ermite retiré du monde, le philosophe dans sa tour d'ivoire, le marginal qui se choisit tel, l'individualiste aristocratique vanté par Georges Palante en s'inspirant de Nietzsche) sont en un sens contradictoires. Le chemin vers un peu plus de liberté ne peut être que personnel.

Le suicide est une stratégie possible de l'individu contre la société, comme la conscription en est une (entre autres) de la société contre l'individu. Par le suicide, l'individu met fin à sa partie (éventuellement, il lance une attaque post mortem contre ses proches ou ses ennemis). Il refuse de continuer à jouer un jeu, qu'il n'a pas choisi de jouer et dont on lui a imposé les règles, l'une d'entre elles étant que le jeu doit se poursuivre le plus longtemps possible. Il fait comme le joueur d'échecs qui balaye les pièces de l'échiquier et frustre son adversaire de la victoire. Il fait comme le spectateur qui quitte la salle au milieu d'un film ennuyeux ou insupportable de violence ; mais le film en question, celui qui est sa vie, est unique, et hors de la salle c'est le néant et non le soleil ou la fraîcheur du soir.

Par le suicide, disparaissent un individu et un petit fragment du jeu social, constitué de sa partie et de sa participation aux parties jouées par la société contre tous les autres individus. La société se trouve donc amputée (un peu) et surtout, superbement refusée, par un acte de liberté.

La société n'a pas dans son jeu de joker semblable (si, la guerre). Elle est bien sûr touchée, par la perturbation locale du système des relations sociales, elle est surtout effrayée par la peur de la contagion, et terrorisée par l'affirmation radicale de la liberté individuelle absolue B absolue car payée au prix maximal, le banco du joueur qui mise tout ce qui lui reste.

Les sociologues, psychologues et moralistes sont appelés à la rescousse pour expliquer le suicide et nier la liberté (je sais bien que tous les suicides ne sont pas des manifestations de liberté).

Les philosophes et les sociologues font tout leur possible pour camoufler les antinomies entre l'individu et la société. Ils sont payés pour cela.

Les antinomies étant identifiées, est-il possible de proposer un compromis ? Mais proposer un compromis, n'est-ce pas nier l'antinomie fondamentale, et finalement, prendre le parti de la société ?

Pourquoi faudrait-il proposer un compromis ? Un compromis entre l'eau et le feu, c'est un tas de cendres humides ; ça pue. Je préfère contempler tour à tour la cascade et les bûches qui flambent.

Je ne suis ni juriste, ni politicien, ni moraliste, ni psychologue. Je ne propose ni lois ni conseils individuels. Comme l'entomologiste qui regarde se battre deux groupes de fourmis, j'observe et je cherche à comprendre.

Objection : Certains penseront que s'il en est bien comme je l'écris, il n'y a guère d'espoir pour l'espèce humaine.

Réponse : L'antinomie existe et il ne sert à rien de la nier. De même, la certitude de la mort n'empêche pas de vivre. En prendre conscience est nécessaire pour un cheminement vers plus de liberté personnelle. Et s'il doit en résulter la fin de l'humanité, qu'importe !

Bruno Courcelle
Courcelle@iname.com
http://www.courcelle-bruno.nom.fr/

14

RAGE2000 : faut que tu réussises ces tests !!
Cela orientera ton année et cela décidera de ton groupe !
Si tu réussis pas les Maths, t'es mal barré !
bang

Allez, je te souhaite bonne chance qd meme smile

Indice : pour la philo, prends le sujet sur lequel tu peux le plus délirer.
Indice 2 : regardes les matières que tu auras à l'EFREI wink
T3 member
TimeToTeam : A new generation of games for TI

15

Vasco : c'est de toi ?
Je ne suis pas entierement d'acord. La "non-strategie", c'est plus que "se laisser porter par le courant".
Ou alors, disons qu'il existe une "autre" strategie, consistant, tout en en adoptant une, de prendre a contre courant celles existant deja.
Pas toujours a contre courant, d'ailleurs, sinon plutot a remettre en question des concepts de bases ("les predicats du bon sens", au sens "smeet-ien" du terme), tout en gardant acquis,
(quoique, voire) les principes de la deduction naturelle.
Et a hypotheses differentes, on a souvent conclusions differentes, d'ou le sentiment qu'on laisse derriere soi de ne pas avoir "les pieds sur terre".
Desole d'etre dans ce dernier cas.
Cinq font un et un font cinq : le tout est UNITE.
C'est dans l'incompréhension que je suscite que je trouve ma raison d'être.
Je suis moi, et je le suis parce que les autres ne le sont pas, et que ce sont eux qui forment ma personne.
Inconscience et déraison sont source d'imagination.
Au delà de ma conscience et de mon inconscient, mes rêves créent la réalité.

16

Non, ce n'est pas de moi mais j'aurais pu l'écrire.
Aucune théorie ne pourra rallier tout le monde car la réalité est qu'on vit pour mourir, et quelque soit le moment ça ne change plus rien lorsque l'on est mort. De même qu'il n'y a pas d'âge pour souffrir ou pour partir en guerre. Tout ça c'est du pipeau.

C'est dur, mais en même c'est la réalité. C'est pour ça que l'on a inventé dieu, pour cacher cette réalité. les animaux n'ont pas de dieu et vivent, pourquoi pas nous ?

17

smeet: ok et merci pour le conseil. Moi qui ai philo cettte année, je vais personnaliser a fond !smile
avatar
Mon âme rayonnait du feu de ton feu,
Ton monde était une eau chuchotante
A la riviére de mon coeur.

Rumi, poéte soufi

18

t trop une merde rage smile

oué le 3 emme c le plus simple, je vai s te dire ce que j'ai fais:

j'ai dit k'il y avais 2 géants: la technique et la société et qu'on étais des nains juchés dessus. En effet on est dépendant de ces géants, et sans on est des vrais merdes smile


et te prends pas trop la tete ca compte pas trop ce truc smile

19

Benjamin :
fait gaffe quand meme.
je ne veux pas me retracter sur ce que j'ai dit.
mais vas y doucement. les profs doivent comprendre que tu ne te fous pas de leur gueule.
et puis, on n'est jamais a l'abri d'un con****

(notre prof etait pas trop mal, n'est ce pas PpHd, elle etait assez ouverte.)

Un truc aussi : tu as le droit de critiuqer les philosophes connus. Mais en connaissance de cause. tu dois bien connaitre leur philosophie avant de les critiquer ouvertement,
et tu dois montrer que tu connais leurs idees (partie "assimilation du cours ", pour pas donner l'air "rebelle")
D'autre part, ne detourne pas les citations celebres pour leur faire dire des choses assez differentes de ce qu'elles ont l'air de vouloir dire...
Ca a l'air con ; d'autatn plus que certaines citations sont a la base deja detournees de leur sens, via la traduction de langue, mais c'est comme ca...

Cinq font un et un font cinq : le tout est UNITE.
C'est dans l'incompréhension que je suscite que je trouve ma raison d'être.
Je suis moi, et je le suis parce que les autres ne le sont pas, et que ce sont eux qui forment ma personne.
Inconscience et déraison sont source d'imagination.
Au delà de ma conscience et de mon inconscient, mes rêves créent la réalité.