Kevin Kofler (./123) :
Peut-être (et ce serait tant mieux). Peut-être qu'ils seraient incapables de s'adapter, ce que Flanker a l'air de penser (et il n'a peut-être pas tort - tout leur modèle économique est basé sur la vente de licenses de logiciels propriétaires), d'où ma réponse que tu cites. (Il faut suivre le contexte de ce à quoi tu réponds.) Il y aurait des jeux avec le système proposé, et ils seraient développés par ceux qui seront capables de s'adapter au système, que ce soient les grands éditeurs existants ou non.
Eh bien les grands éditeurs, ils n'ont pas attendu que Monsieur Kevin Kofler ramène sa philosophie bancale du libre. Si les jeux deviennent tout-à-coup open source gratuit libre toussa, étant donné qu'ils ne pourront plus faire leur beurre sur le programme qui exploite les données du jeu, ils le feront... sur les données annexes : graphismes, sons, etc ! "Hé, les kids, vous voulez jouer à ce merveilleux jeu gratuit ? Donnez-nous des royalties pour avoir les niveaux qui vont avec et que vous puissiez en profiter pleinement !" Et là, même si les spécifications du moteur du jeu sont accessibles pour tous, tu pourras mettre toutes les personnes que tu veux dessus, les graphistes, musiciens et autres animateurs des grosses boîtes seront toujours un cran au-dessus. Et une fois que j'ai écrit ça, je me dis... qu'heureusement que t'es pas un acteur économique majeur.
Kevin Kofler (./123) :
Une loi qui oblige à publier les sources n'aurait pas de sens si on permet de les obfusquer.
Ça se fait déjà, par exemple dans les publicités de crédit, où les conditions défilent très vite en bas de l'écran dans le cas de spots télés, et où la voix est très accélérée pour les spots radios. Et pour le coup, tu ferais une loi vraiment dictatoriale, parce que tu décrètes que toi, tu ne peux pas lire ou discerner clairement les paroles, alors tu décrètes que personne ne comprendra. Heureusement que la majorité des lois laissent peu de place au subjectif.
Kevin Kofler (./123) :
The following are the minimal characteristics that a specification and its attendant documents must have in order to be considered an open standard:
* The standard is adopted and will be maintained by a not-for-profit organization, and its ongoing development occurs on the basis of an open decision-making procedure available to all interested parties (consensus or majority decision etc.).
* The standard has been published and the standard specification document is available either freely or at a nominal charge.
* It must be permissible to all to copy, distribute and use it for no fee or at a nominal fee.The intellectual property - i.e. patents possibly present - of (parts of) the standard is made irrevocably available on a royalty-free basis.* There are no constraints on the re-use of the standard.
Le troisième point n'est clairement pas le cas de l'AAC.
Mensonge. Je te cite l'extrait WP concernant l'AAC :
http://en.wikipedia.org/wiki/Advanced_Audio_Coding#Licensing_and_patents et
http://www.vialicensing.com/Licensing/AAC_FAQ.cfm?faq=5#5No licenses or payments are required to be able to stream or distribute content in AAC format.
This reason alone makes AAC a much more attractive format to distribute content than MP3, particularly for streaming content (such as Internet radio).However, a patent license is required for all manufacturers or developers of AAC codecs. It is for this reason FOSS implementations such as FAAC and FAAD are distributed in source form only, in order to avoid patent infringement. (See below under Products that support AAC, Software.)