Ben disons que je conseille la jerbe:
-quand on est déjà trop loin et que de toute façon ça va venir. Là, c'est purement médical et permet vraiment d'aller mieux...
-quand on maitrise bien la chose, et que l'on sait pertinemment que l'on va atteindre ce genre de limites dans la soirée, because soirée vraiment axée défonce volontairement et dans un lieu qui le permet. Mais dans ce cas-là, rien de bien dégeu.... tu arrêtes de boire un peu avant quand tu sens le truc approcher, un petit tour de 10 mns aux toilettes au bon moment ( avec un peu d'habitude et de maitrise on ne dégueulasse rien), et puis le temps de reprendre ses esprits et c'est reparti. Et tu ne dégueulasses rien ni ne fait le lourdau mort à terre. Pour tout dire cela procure même une sensation assez spécifique et jouissive, une sorte de revitalisation assez étrange...
Les dernières fois que je l'ai pratiquée les autres participants (pas tous morts défoncés) ne se sont aperçu de rien.
évidemment le second cas est un peu particulier; je ne le conseille évidemment pas pour toutes les soirées. De temps en temps le contexte peut s'y prêter. Et puis pour être honnête, ceux qui gèrent bien la seconde situation (la jerbe contrôlée

) sont souvent passé auparavant par la première ( la jerbe non voulue... )
«Les gens exigent la liberté d’expression pour compenser la liberté de pensée qu’ils préfèrent éviter.» - Sören Kierkegaard
La République, c’est comme la syphilis : quand on l’a attrapée, soit on se fait sauter le caisson, soit on essaie de vivre avec.