
Même si y'a le droit d'ôter la vie *dans certains cas extrêmes*, je doute que les forces de l'ordre deviennent des miliciens...

Uther
: Dire non en espérant une meilleure constitutioin est a mon avis une idée séduisante mais qui n'aboutirait pas.
Mais le status quo serait certainement pire.
Bah J'en ai ras le bol du "c'est eux ils sont méchants boouuuh. Nous on a droit a tous les écarts qu'on veux vu qu'on défends la bonne cause mais les autre c'est pas pareil ils sont méchants."
Je n'ai pas dit que l'europe n'a pas d'influence sur la politique française, loin de là mais c'est clair que la pluspart des gens mettent sur le dos de la constitution européene des problème qui ne sont pas les siens
t'inquiète, on va les "éduquer", avec de la "pédagogie"...Bien sur! Il est tellement plus facile de voter sans savoir pourquoi.
La même chose sur le non je suis sur que tu aurais di #top #
Pollux :
(Attac aussi)
Valéry Giscard d'Estaing se dit assuré que "le potentiel des 'oui' se situe aux alentours de 58 ou 60%". Il ajoute : les arguments du camp du 'non' prennent les Français pour des imbéciles".
Uther
: Rien n'empèche la BCE de changer de politique même si c'est vrai que pour le moment elle n'applique qu'une seule politique: La stabilité. Mais la encore ce n'est pas incris dans la constitution.
et en ce qui concerne le tout reste de la politique économique chaque état est libre de faire ce qu'il veut.
UtherCertes, enfin d'après ce que j'ai vu Emmanuelli répondait à quelqu'un qui lui reprochait de franchir une limite interdite en se prononçant contre la majorité de son parti, et il a juste dit « historiquement, la majorité du parti n'a pas toujours eu raison, la preuve » en citant ses exemples, il n'a pas *comparé* les partisans du oui à ceux qui avaient voté les pleins pouvoirs à Pétain. Et c'est Julien Dray lui-même qui a réagi en disant bouh le pas beau, il nous traite de pétainiste, tout ça pour dire une semaine plus tard que si le non l'emportait ce serait un nouveau 21 avril 2002
:Emmanuelli n'a pas tort, même si la bienséance aurait du lui faire trouver une autre formulation. Mais face à la violence des partisans du oui, son emportement est bien compréhensible.Bah J'en ai ras le bol du "c'est eux ils sont méchants boouuuh. Nous on a droit a tous les écarts qu'on veux vu qu'on défends la bonne cause mais les autre c'est pas pareil ils sont méchants."
Moumou :
En fait, j'ai vraiment l'impression qu'on me demande de choisir entre la peste et le choléra.![]()
Moumou
: guilc > Le problème, si le non gagne, c'est que ce sera sûrement pire que si le oui gagne.
Ca ne fera que gagner du poids électoral aux extrêmes.
Y a qu'à voir la proportion de gens parmi les tenants du non qui votent non parce que turquie, bolkestein, ou chirac/raffarin (cf le dernier sondage de Marianne).
C'est bien dommage, mais le non perfectionniste est très largement minoritaire.
Alors certes ceux qui font campagne pour le oui prennent les partisans du non pour des cons, mais contrairement à Hippo, je crois qu'ils ont raison (sur la majorité, du moins).
mon vote soit amalgamé
Hippopotame
:mon vote soit amalgamé
Ca aussi c'est quelque chose que je trouve très bizarre. Un bulletin de vote n'a pas de cheveux...
Déjà, le soir du dimanche 29 mai sur les plateaux de télévision, l'échange est vif. Les partisans du non, sourire aux lèvres, entament une vive polémique sur la paternité de ce résultat. Les communistes, hostiles à tout traité depuis 1951, tiennent enfin une victoire : le non est le mien dit Marie-George Buffet. Faux, réplique de Villiers, les Français ont dit non à la Turquie, donc ce non est à moi. Erreur, répond Besancenot, ils ont rejeté l'Europe libérale et ils veulent revenir sur le marché commun devenu unique.
Jean-Marie Le Pen n'est pas en reste et voit dans ce vote un triomphe de ses thèses : les Français ne veulent pas de cette Europe qui accueille des immigrés et ils viennent de le faire savoir. Jean-Pierre Chevènement tente de trouver sa place dans cette dispute d'appropriation, mais ses forces politiques sont très faibles. Mélenchon et Emmanuelli sont gênés par ce compagnonnage baroque, en fidélité avec leur histoire et en loyauté avec la formation politique qui a leur sympathie.
Ce qu'il décrit me paraît pourtant très plausible.c'est marrant parce que si cette situation se réalisait effectivement ce serait de sa faute
Moumou
:Déjà, le soir du dimanche 29 mai sur les plateaux de télévision, l'échange est vif. Les partisans du non, sourire aux lèvres, entament une vive polémique sur la paternité de ce résultat. Les communistes, hostiles à tout traité depuis 1951, tiennent enfin une victoire : le non est le mien dit Marie-George Buffet. Faux, réplique de Villiers, les Français ont dit non à la Turquie, donc ce non est à moi. Erreur, répond Besancenot, ils ont rejeté l'Europe libérale et ils veulent revenir sur le marché commun devenu unique.Ce qu'il décrit me paraît pourtant très plausible.
Jean-Marie Le Pen n'est pas en reste et voit dans ce vote un triomphe de ses thèses : les Français ne veulent pas de cette Europe qui accueille des immigrés et ils viennent de le faire savoir. Jean-Pierre Chevènement tente de trouver sa place dans cette dispute d'appropriation, mais ses forces politiques sont très faibles. Mélenchon et Emmanuelli sont gênés par ce compagnonnage baroque, en fidélité avec leur histoire et en loyauté avec la formation politique qui a leur sympathie.
Justement c'est bien ça mon problème, et ce qui me dissuade un peu de voter non :/ Si il y avait une vraie campagne pour le non socialiste, je pense que j'aurais adhéré sans aucun problème ...