C'est vrai quoi merde, laissons passer tous les terros de retour de Syrie.
(je ne dis pas que tous les migrants sont terros, loin de là, alors lâchez moi la grappe les SJW)
Kevin Kofler (./815) :Bien dit. Moi même je milite pour qu'on retire les tourelles lance-missiles automatiques des frontières. Chaque fois que je veux passer dans un autre pays, je n'ai que 65% de chance de survie.
Les frontières tuent!
Kevin Kofler (./818) :Feront-y errer des chiens enragés pour mieux les protéger un jour ?
Les frontières tuent de manière moins directe actuellement (mais si ça continue, on en arrivera bientôt là). En tout cas, ce n'est pas du tout un sujet sur lequel plaisanter
Meowcate (./821) :Tu préfères t'en remettre à un exemple fictif au nom de la sacro-sainte économie pour justifier le refoulement des refugiés. Je le note.
Tu sais Kevin, va regarder Le jour d'après, ça te fera le plus grand bien, tu verras. Il y a cette remarquable scène où les États-Unis, qui subissent (comme tout l'hémisphère nord) une ère glaciaire causée par des décennies d'industries polluantes, et cherchent à fuir la catastrophe en voulant émigrer en masse vers le Mexique... qui leur ferme la frontière (et veulent négocier l'ouverture aux migrants contre un remboursement intégral de la dette mexicaine).
L'inversion des rôles est intéressante, et le blocage du Mexique l'est tout autant : aucun pays ne peut accepter un flux important de migrants sans garde fou. Tu as été fier de la politique de ton pays et de l'Allemagne au début, avant de constater qu'ils ont vite changé d'avis. Sont-ce des traîtres ? non, accueillir les réfugiés pour les refuser ensuite ne fait que du mal à leur image. Ils sont forcés. Ils découvrent la réalité.Tu pourrais me montrer des vidéos de massacre en boucle, de la situation sur place, de migrants qui se noient durant une traversée, ça ne changerait rien : ce n'est pas parce que ça nous touche qu'on a la liberté d'agir face à la réalité de notre monde, nos lois, notre économie. Chaque pays est basé sur un équilibre plus ou moins fragile et nécessite d'accepter les changements petit à petit, et pas un afflux massif qui peut tout renverser.
Yoshi Noir (./823) :Il essaie surtout que malgré toute la bonne volonté les réalités de l'équilibre socioéconomiques interdit un changement trop brusque et est dans l'incapacitié d'absorber "trop" de migrants d'un coup (après, c'est la définition de ce plafond qui peut faire débat)Meowcate (./821) :Tu préfères t'en remettre à un exemple fictif au nom de la sacro-sainte économie pour justifier le refoulement des refugiés. Je le note.
Tu sais Kevin, va regarder Le jour d'après, ça te fera le plus grand bien, tu verras. Il y a cette remarquable scène où les États-Unis, qui subissent (comme tout l'hémisphère nord) une ère glaciaire causée par des décennies d'industries polluantes, et cherchent à fuir la catastrophe en voulant émigrer en masse vers le Mexique... qui leur ferme la frontière (et veulent négocier l'ouverture aux migrants contre un remboursement intégral de la dette mexicaine).
L'inversion des rôles est intéressante, et le blocage du Mexique l'est tout autant : aucun pays ne peut accepter un flux important de migrants sans garde fou. Tu as été fier de la politique de ton pays et de l'Allemagne au début, avant de constater qu'ils ont vite changé d'avis. Sont-ce des traîtres ? non, accueillir les réfugiés pour les refuser ensuite ne fait que du mal à leur image. Ils sont forcés. Ils découvrent la réalité.Tu pourrais me montrer des vidéos de massacre en boucle, de la situation sur place, de migrants qui se noient durant une traversée, ça ne changerait rien : ce n'est pas parce que ça nous touche qu'on a la liberté d'agir face à la réalité de notre monde, nos lois, notre économie. Chaque pays est basé sur un équilibre plus ou moins fragile et nécessite d'accepter les changements petit à petit, et pas un afflux massif qui peut tout renverser.
Yoshi Noir (./823) :Je donne un exemple fictif comme une façon de percevoir ce que serait la situation inverse. Le meilleur moyen de comprendre quelqu'un est de se mettre à sa place. L'illustration dans ce film est plus parlante, pour un pays développé d'occident, que l'idée "nous sommes dans une guerre sanglante sur notre territoire avec des superpuissances qui menacent de tout détruire sur leur passage".
Tu préfères t'en remettre à un exemple fictif au nom de la sacro-sainte économie pour justifier le refoulement des refugiés. Je le note.
Meowcate (./821) :Pourtant, tout renverser serait exactement ce qu'il faudrait pour ce système capitaliste de merde!
Chaque pays est basé sur un équilibre plus ou moins fragile et nécessite d'accepter les changements petit à petit, et pas un afflux massif qui peut tout renverser.
Kevin Kofler (./828) :Kevin, Kevin, Kevin…
Pourtant, tout renverser serait exactement ce qu'il faudrait pour ce système capitaliste de merde!
Kevin Kofler (./828) :Je ne sais pas pour l'Autriche, mais en France j'ai la chance de vivre dans un pays capitaliste qui a su instaurer de nombreux services sociaux, que ce soit par l'État (l'éducation gratuite, la sécu, les aides sociales...) ou les citoyens (les Restos du cœur, les associations bénévoles...). Et je ne sais pas si c'est la meilleure vie que je pourrais avoir, mais je trouve que c'est une chance en effet, d'être dans un pays qui n'est pas basé entièrement sur la rentabilité (ultra-capitaliste), ni qui sacrifie toute individualité au profit de la communauté (ultra-communisme). Et je ne dénote pas d'autres nuances (comme l'écologisme par exemple) qui donne des nuances à cette dualité.
Pourtant, tout renverser serait exactement ce qu'il faudrait pour ce système capitaliste de merde!
Tron (./839) :
Le Caméléon, c'est mieux, moins sexy peut être, mais bien plus dans la lignée de Code Quantum